En milieu professionnel, l’employeur doit respecter certaines obligations vis-à-vis de ses salariés. Le non-respect de ces principes peut détruire l’image de son entreprise. Quels sont donc les droits d’un salarié en Israël ?

Le droit au salaire minimum 

Depuis le 1er avril 2018, tout salarié israélien doit être payé au moins 5300 Shekels par mois. Vous pouvez avoir lus de détails sur les conditions de travail d’un salarié en Israël sont présentés sur cette page, en vérifiant via ce lien

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L’employeur peut faire travailler ses employés durant 182 heures par mois, soit 42 heures par semaine. Le salaire minimum ou SMIC d’un salarié israélien est donc de 29,12 Shekels par heure. 

Le droit au paiement des transports

Si vous êtes salariés dans l’État d’Israël, votre employeur a pour obligation de payer vos frais de transport. Le montant à verser est généralement calculé selon le moyen qui vous sera le moins coûteux. 

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Cela fait que la somme reçue correspond le plus souvent au forfait des transports en commun. Dans l’éventualité où vous allez au boulot avec un véhicule, certains employeurs peuvent payer les frais y afférents. 

Le droit aux congés payés et aux congés maladie

En Israël, les salariés ont droit à des congés payés selon leur année de service. Pour chaque mois travaillé, ils ont normalement droit à un jour de congés payés. Il peut toutefois avoir un accord entre l’employé et son employeur, ce qui prévaut sur la loi.

Pour les congés maladie, le travailleur israélien a droit à un jour et demi de repos par mois travaillé. S’il travaille à temps partiel, les congés auxquels a droit le salarié sont accordés selon son temps d’activité.

Le droit au non-licenciement

Dans certaines conditions, il est impossible pour un employeur de renvoyer un employé. C’est le cas si le travailleur est malade ou en état de grossesse. Cela peut cependant être possible seulement si le renvoi a été annoncé avant que la personne ne tombe malade. 

Dans le cas d’une employée enceinte, celle-ci peut être licenciée uniquement sous deux conditions. Elle exerce depuis moins de six mois et la cause de son renvoi n’est pas due à sa grossesse.